You are in:Home/Publications/Du cinéma à Internet : Alexandre jardin, de l'œuvre filmée/novélisée à "l'œuvre vivante"

Dr. Ayman Ahmed Mohammed El-Ghobashy :: Publications:

Title:
Du cinéma à Internet : Alexandre jardin, de l'œuvre filmée/novélisée à "l'œuvre vivante"
Authors: Ayman Ahmed Mohammed El-Ghobashy
Year: 2021
Keywords: Not Available
Journal: المؤتمر الدولي السنوي للجمعية الدولية للنقد الأدبي بفرنسا
Volume: عدد يناير 2021
Issue: Not Available
Pages: Not Available
Publisher: Not Available
Local/International: International
Paper Link: Not Available
Full paper Ayman Ahmed Mohammed El-Ghobashy _Dr2.pdf
Supplementary materials Not Available
Abstract:

Moyen de distraction le plus populaire dans les années 90, le cinéma était un excellent médiateur entre Fanfan (publié en 1990) et le public. Le succès de l’adaptation amène Jardin à en « novéliser » les scènes à succès dans Quinze ans après ou Fanfan II (publié en 2009). La scène d’ombres chinois empruntée au générique –inspirée à son tour par Jardin de La Belle et le Clochard - et reproduite sur la première de couverture du roman dans les éditions qui succèdent à la sortie du film, aurait peut-être la vertu d’attirer le regard du public, donc d’engendrer plus de diffusion. L’adaptation a fait de Fanfan un « blockbuster » et non seulement un simple best-seller, donc lui a garanti plus de « durée en librairie ». Si le cinéma était le médium hors pair entre Fanfan et le public, Twitter et Facebook n’en sont pas moins pour Quinze ans après. Des pages Facebook portant les noms des personnages du roman permettent aux internautes de fournir des extensions aux scènes postées par l’équipe qui prend en charge d’animer les discussions et réfèrent, via des hyperliens, aux comptes appartenant aux mêmes personnages sur Twitter. Tout comme dans les ateliers d’écriture en ligne – considérons le Tiers livre de François Bon -, l’auteur lance un concours créatif d’écriture sur la page consacrée à Quinze ans après sur Facebook où le lecteur se trouve impliqué dans l’affaire. L’auteur se retire pour faire ses lecteurs s’aventurer dans une expérience aussi intéressante que nouvelle. C’est justement ce que Jardin appelle « œuvre vivante » parce que s’écrit au fur et à mesure qu’on la vit.

Google ScholarAcdemia.eduResearch GateLinkedinFacebookTwitterGoogle PlusYoutubeWordpressInstagramMendeleyZoteroEvernoteORCIDScopus